Who are The Who today ?
Sont présents sur la scène : un sourd (Pete), un aveugle (Roger), le frère à Pete, le fils à Ringo... et le remplaçant du bassiste John Entwistle qui porte le nom exotique de Pino Palladino (mais de là à dire qu'il joue comme une pine...).
Ok ok, je reconnais que mon entrée en matière n'est pas très engageante et un tantinet de mauvaise foi. Mais à quoi bon s'imaginer être revenu au temps béni des sixties ?
Malgré tout les deux papys ont encore la pêche. Pete arrive toujours à faire ses célèbres moulinets et Roger jongle habilement avec son micro. Mais pour voir ça il fallait y mettre le prix : 67,30 euros pour les places les moins chères... ou alors il y a le marché noir, j'ai pu en dégoter une à 50 euros grâce à une charmante demoiselle (à qui un revendeur professionnel en proposait 20 d'ailleurs !). Il faut le savoir, si on est pas prêt à payer plein pot on peut toujours se débrouiller et avoir parfois de sacrées ristournes, il faut juste savoir différencier les revendeurs occasionnels (qui se retrouvent avec des places en trop à la dernière minute) des professionnels.
La 1ère partie est assurée par The Cult dont le chanteur, Ian Astbury, a remplacé celui d'un autre groupe légendaire : les Doors. Il a depuis quitté ce rôle empoisonné pour se consacrer entièrement à son groupe, qui n'est pas culte lui (que c'est drôle !).
Au cours du set Ian gratifie la foule d'un "you're a nice audience !". Approbation de la salle. Puis enchaîne avec un "you're a nice conservative rock audience !" sans doute de trop. Le public approuve moins sur le coup, prenant cette remarque pour une insulte. Se rattrape comme il peut : "but it's nice ! we all love good old conservative rock !"
La moitié survivante des Who nous replonge illico dans les années 60 en débutant par I Can't Explain. Le public est très enthousiaste et n'hésite pas à danser. Les deux Who d'origine et leurs compères enchaînent la plupart de leurs tubes. Pas de doute, les 15000 personnes présentes ce soir ont pleinement profité de ces 2 heures de concert.
Setlist :
I Can't Explain
The Seeker
Substitute
Fragments
Who Are You
Behind Blue Eyes
Real Good Looking Boy
Baba O'Riley
Eminence Front
Drowned
Man In A Purple Dress
The Real Me
You Better You Bet
My Generation
Cry If You Want
Won't Get Fooled Again
----
The Kids Are Alright
Pinball Wizard
Amazing Journey
Sparks
See Me Feel Me
Tea And Theatre
The Who - I Can't Explain
Sont présents sur la scène : un sourd (Pete), un aveugle (Roger), le frère à Pete, le fils à Ringo... et le remplaçant du bassiste John Entwistle qui porte le nom exotique de Pino Palladino (mais de là à dire qu'il joue comme une pine...).
Ok ok, je reconnais que mon entrée en matière n'est pas très engageante et un tantinet de mauvaise foi. Mais à quoi bon s'imaginer être revenu au temps béni des sixties ?
Malgré tout les deux papys ont encore la pêche. Pete arrive toujours à faire ses célèbres moulinets et Roger jongle habilement avec son micro. Mais pour voir ça il fallait y mettre le prix : 67,30 euros pour les places les moins chères... ou alors il y a le marché noir, j'ai pu en dégoter une à 50 euros grâce à une charmante demoiselle (à qui un revendeur professionnel en proposait 20 d'ailleurs !). Il faut le savoir, si on est pas prêt à payer plein pot on peut toujours se débrouiller et avoir parfois de sacrées ristournes, il faut juste savoir différencier les revendeurs occasionnels (qui se retrouvent avec des places en trop à la dernière minute) des professionnels.
La 1ère partie est assurée par The Cult dont le chanteur, Ian Astbury, a remplacé celui d'un autre groupe légendaire : les Doors. Il a depuis quitté ce rôle empoisonné pour se consacrer entièrement à son groupe, qui n'est pas culte lui (que c'est drôle !).
Au cours du set Ian gratifie la foule d'un "you're a nice audience !". Approbation de la salle. Puis enchaîne avec un "you're a nice conservative rock audience !" sans doute de trop. Le public approuve moins sur le coup, prenant cette remarque pour une insulte. Se rattrape comme il peut : "but it's nice ! we all love good old conservative rock !"
La moitié survivante des Who nous replonge illico dans les années 60 en débutant par I Can't Explain. Le public est très enthousiaste et n'hésite pas à danser. Les deux Who d'origine et leurs compères enchaînent la plupart de leurs tubes. Pas de doute, les 15000 personnes présentes ce soir ont pleinement profité de ces 2 heures de concert.
Setlist :
I Can't Explain
The Seeker
Substitute
Fragments
Who Are You
Behind Blue Eyes
Real Good Looking Boy
Baba O'Riley
Eminence Front
Drowned
Man In A Purple Dress
The Real Me
You Better You Bet
My Generation
Cry If You Want
Won't Get Fooled Again
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The Kids Are Alright
Pinball Wizard
Amazing Journey
Sparks
See Me Feel Me
Tea And Theatre
The Who - I Can't Explain
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